Le Chaudron de Dagda

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23 mars 2009

Les errances de l'Eglise

l-oeil-de-trapier_M19855.jpg
Crédits : l'Oeil de Trapier, Télérama.fr

21 mars 2009

L'amour en souffrance

Voici le texte d'une chanson que j'avais intitulé "A Lover in Pain". J'y ai mis toute ma sensibilité et ma souffrance à aimer sans retour.
Je remercie mon groupe d'amis qui a osé le mettre en musique : ce qu'ils en ont fait (je ne suis pas un auteur de chanson, il a donc bien sûr fallu l'adapter quelque peu) gardait néanmoins toute la substance que ce que je voulais exprimer. J'adresse d'ailleurs un salut tout particulier au chanteur qui a su retranscrire toute l'émotion cachée dans le texte.

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19 mars 2009

Nuit blanche

Vers 17 ou 18 ans, je souffrais d'insomnie. Je passais de longues soirées à ruminer et à déprimer.

Le texte qui suit, intitulé "Pulsions Maladives", je l'ai rédigé au cours d'une de ces nuits où le mal avait atteint un stade extrême. C'était l'été. A ma fenêtre, j'observais le ciel et les étoiles, priant pour qu'elles me viennent en aide.

Etrangement, j'ai découvert récemment, au hasard du net, ce court texte, que je reproduis ici :
"À l’origine, le mot désir parle des astres. C’est le latin sidus, étoile, qui se cache derrière desiderare, comme le souligne Alain Rey : “Le désir est d’abord le sentiment douloureux d’une absence, et ceux qui l’éprouvent ‘cessent de contempler l’astre qui les inspire’. Naissent la peine et le regret, retournés en aspiration pour ce qui n’est plus là, et pas encore ici. L’érotisation du désir est venue plus tard ; la couleur du mot en fut modifiée et, quels qu’ils soient, les objets du désir ont rejoint ceux de la passion”. Le désir est au commencement affaire de regard, disant l’éblouissement d’une vision inaccessible, et l’irrésistible aspiration au re-voir."

Troublant, je trouve...

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14 mars 2009

Bile noire

Voilà un moment que je n’ai rien écrit sur mon blog. Or, comme la nature et moi-même avons horreur du vide, j’ai décidé d’inaugurer un nouveau chapitre, intitulée « bile noire ».

Pour les ignorants, les anciens appelaient bile noire la mélancolie, la dépression.

Parce que c’est mon blog et que j’y fais ce que je veux, je vais faire couler entre ces lignes le fiel dont regorgeais mon cœur et mon âme torturée, voir tortueuse, à l'adolescence.

C’est un tragique événement, survenu il y a quelques semaines, qui m’a donné l’idée de ce thème : un ancien camarade de classe du lycée s’est tué en voiture. Il laisse une femme et deux petites filles. Je ne l’avais pas revu depuis le lycée.

Cet accident m’a fait remonté les années et revivre cette époque, tel un couteau que l’on tournerait dans une plaie. Car, oui, le lycée était pour moi une plaie à vif, où je ne me reconnaissais pas, ne me retrouvais pas.

Si je vous dis tout ça, c’est pour que compreniez un peu mieux mon état d’esprit à l'époque et un peu après. A part que je suis en thérapie depuis sept ans, et qu’il a fallu que ma petite amie me quitte à cette époque pour que je décide de consulter.

Mais je digresse : pendant mes années lycée, j’étais tellement plein de bile qu’il fallait que je l’évacue. L’écriture a été mon exutoire. Et tel un Rimbaud, je n’ai pratiquement plus écrit depuis. Et comme finanelement j'aime beaucoup ces textes, je vais les diffuser ici, héhé.

Le premier que voici n’a pas de titre. C’est un poème assez représentatif du ton donné à mes écrits.
_

Aujourd'hui, j'ai erré sur les routes du destin.
Aujourd'hui, j'ai pensé à tous ces bâtisseurs,
A ces divins menteurs qui créèrent le matin,
Que je renie et dont je viole les petites sœurs.

Trêve de faux-semblants aussi mesquins et puants,
Ces mensonges éhontés me mouillent les dents du fond.
Je n'crois plus en l'humain, en un monde aussi puant.
Je suis sur la pente raide, je vais toucher le fond.

Mon but est de périr, de briser ce carcan,
D'enflammer les cœurs purs, de leur mettre un boucan,
Un bancanal terrible qui les f'ra réfléchir.

Faites que ma mort scénique soit l'illumination
Des âmes en perdition ; l'ultime libération.
Ô mort, j'entends ton ode. Qu'elle m'empêche de fléchir.

8 mars 2009

Voyage hyperspatial

The World of 

Star Wars

6 mars 2009

Les jeux vidéos : attention danger !

                               “Exclusif : une cache d’amusement massif découverte dans les Hautes-Alpes“

Enquete_-_Consoles_de_Jeu__quand_la_Violence_sort_de_l_ecran.jpg“Enquête : Consoles de Jeu, quand la Violence sort de l’écran“

1 mars 2009

Dragonlance - 6ème partie : transition

Presque trois ans se sont déjà écoulés depuis les retrouvailles des Compagnons à l’Auberge du Dernier Refuge. C’était l’automne...

Dragons_of_Autumn_Twilight___84.jpg Dragons of Automn Twilight 1984, Larry Elmore

Les Héros sont rentrés chez eux, ont repris, il semble, le cours de leur vie d’avant. Mais en réalité, plus rien n’est comme avant : ils ont désormais des responsabilités et doivent assumer leur statut de libérateurs, de sauveurs du monde. Un fardeau qui pèse bien lourd sur leurs frêles épaules de mortels. Un titre qu’ils ne revendiquent pas et dont ils se seraient passés bien volontiers.

Or l’un d’eux a des ambitions bien différentes. Leur victoire sur le Mal et sa soif de puissance et de vengeance l’empêchent d’aspirer à la tranquillité.

Soulforge.jpg Soulforge, Larry Elmore

Raistlin Majere a toujours été un jeune homme physiquement faible, à la constitution fragile mais à l’intelligence exceptionnelle. Tout le pendant de son frère jumeau, Caramon Majere, une véritable force de la nature, grand et fort, mais peu futé.
Autant Raistlin est revêche, mystérieux et cynique, autant Caramon est accorte, ouvert et bon cœur. Les opposés parfaits.
De tout temps, Raistlin a été l’objet de railleries et de quolibets, dédaigné et blessé tant dans son corps que dans son ego.
De tout temps, Caramon était aux côtés de son frère pour le protéger, le soutenir, le couver.
Jusqu’à ce que Raistlin se découvre un réel talent pour la magie et dès lors, les frères Majere formèrent un duo respecté et respectable. Ils se fondèrent alors une renommée que beaucoup envièrent et aussi mortelle qu’une épée à deux tranchants : Caramon le guerrier et Raistlin le magicien.
Aussi indissociables que les deux doigts d’une main, ils étaient les célèbres frères Majere !

Dragons_of_Spring_Dawning___94.jpg Dragons of Spring Dawning 1994, Larry Elmore

Au cours de leurs aventures, ils firent la connaissance de Tanis Demi-Elfe, Flint Forgefeu, le nain bourru, Sturm Lumelane, l’aspirant chevalier et Tasslehoff Racle-Pieds, l’espiègle kender. Ils habitaient un petit bourg de la région d’Abanasinie, Solace, et leur auberge favorite était celle du Dernier Refuge…
A l’automne où commença la guerre de la Lance, les six amis avaient endurés les épreuves qui faisaient d’eux désormais des adultes. Ils étaient prêts à affronter leur destin.
Et dans cette quête, quatre autres personnes allaient les accompagner : Tika Waylan, la serveuse de l’auberge, l’elfe Laurana, future Général Doré et le couple de nomades des plaines d’Abanasinie, Rivebise et Lunedor.

Laurana__le_General_Dore.jpg Laurana, le Général Doré, armée d'une lancedragon et chevauchant un dragon d'argent

Mais de cette guerre où le Mal ancestral fut repoussé, un autre mal s’éleva.
Pour bouter définitivement les ombres qui planaient sur la terre de Krynn, Raistlin Majere se laissa consumé par son côté sombre, devint plus mauvais que le Mal lui-même, s’introduisit en son cœur pour le couper à la racine, permettant aux Héros de la Lance de remporter la victoire. Mais une victoire bien amère, car ceux-ci se rendirent compte qu’ils ne devaient leur salut qu’à Raistlin : seul le Mal avait réellement pu vaincre le Mal…
Et pendant trois années, Raistlin Majere, dans sa tour de Sorcellerie, complota, trama un plan dont, il l’espérait, assouvirait sa soif de puissance et de vengeance contre ceux qui l’avaient molesté, rabaissé toute sa vie durant et qui changerait la face du monde.

Raistlin.jpg

Ainsi débute la trilogie des « Légendes » de Dragonlance...

A suivre...

28 février 2009

Respectitude

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Crédits : Maïa Mazaurette

Militantisme

HADOPI - Le Net en France : black-out

27 février 2009

Piratage informatique

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Riposte graduée : le paintball serait utilisé sur les internautes en cas de récidive.

Crédits : l'Espresso de Télérama.fr

26 février 2009

Dragonlance - 5ème partie : ballades et poèmes

La plupart des grands mythes fondateurs de notre civilisation ont régulièrement fait l'objet de contes, de poèmes voir de chansons. "L'Iliade" et "L'Odyssée" d'Homère chez les Grecs, "L'Enéide" de Virgile chez les Romains, le "Mahâbhârata" chez les Hindous, le "Soundiata Keïta" des Africains, les "Sagas" scandinaves, les "monogatari" au Japon, la "byline" russe, le "Kalevala" finnois ou bien encore la "chanson de geste" au Moyen-Age Occidental sont autant d'épopées de tradition orale fondatrices de la culture d'un peuple. L'on ne peut d'ailleurs bien souvent embrasser complètement la culture d'un peuple qu'à l'aune d'une de ces "Bibles d'un peuple", qui constitue "les véritables fondations de la conscience", si l'on veut en croire Hegel.
Et le monde de Dragonlance, de ce point de vue, n'en est nullement avare.

Lost_Leaves_From_the_Inn_of_the_Last_Home.jpg

Trois ouvrages ("Leaves From the Inn of the Last Home", "More Leaves From the Inn of the Last Home" et "Lost Leaves From the Inn of the Last Home") livrent une compilation d'histoires, de contes, de poèmes, de récits d'épopées de héros légendaires et de chansons issus d'un passé multimillénaire.
Ecrits par Michael Williams pour la majeure partie, ces poèmes et chansons apportent une profondeur et une dimension que d'autres univers de Dungeons & Dragons ne possèdent souvent pas...
Parmi la pléthore de poèmes et de ballades qu'elle recèle, j'en ai sélectionné deux que je trouve tout à fait emblématiques de la saga : le Cantique du Dragon et l'Hommage aux Neuf Héros.
"Enjoy !"

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23 février 2009

Un peu de finesse dans un monde de brutes

Mon poème de Victor Hugo préféré :

Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l'amour s'en va, l'espoir fuit.
L'amour, c'est le cri de l'aurore,
L'amour c'est l'hymne de la nuit.

Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l'astre dit aux nuages,
C'est le mot ineffable : Aimons !

L'amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c'est le bonheur !

Aime ! qu'on les loue ou les blâme,
Toujours les grand coeurs aimeront :
Joins cette jeunesse de l'âme
A la jeunesse de ton front !

Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu'on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !

Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !

Soyons le miroir et l'image !
Soyons la fleur et le parfum !
Les amants, qui, seuls sous l'ombrage,
Se sentent deux et ne sont qu'un !

Les poètes cherchent les belles.
La femme, ange aux chastes faveurs,
Aime à rafraîchir sous ses ailes
Ces grands fronts brûlants et rêveurs.

Venez à nous, beautés touchantes !
Viens à moi, toi, mon bien, ma loi !
Ange ! viens à moi quand tu chantes,
Et, quand tu pleures, viens à moi !

Nous seuls comprenons vos extases.
Car notre esprit n'est point moqueur ;
Car les poètes sont les vases
Où les femmes versent leur coeurs.

Moi qui ne cherche dans ce monde
Que la seule réalité,
Moi qui laisse fuir comme l'onde
Tout ce qui n'est que vanité,

Je préfère aux biens dont s'enivre
L'orgueil du soldat ou du roi,
L'ombre que tu fais sur mon livre
Quand ton front se penche sur moi.

Toute ambition allumée
Dans notre esprit, brasier subtil,
Tombe en cendre ou vole en fumée,
Et l'on se dit : " Qu'en reste-t-il ? "

Tout plaisir, fleur à peine éclose
Dans notre avril sombre et terni,
S'effeuille et meurt, lis, myrte ou rose,
Et l'on se dit : " C'est donc fini ! "

L'amour seul reste. O noble femme
Si tu veux dans ce vil séjour,
Garder ta foi, garder ton âme,
Garder ton Dieu, garde l'amour !

Conserve en ton coeur, sans rien craindre,
Dusses-tu pleurer et souffrir,
La flamme qui ne peut s'éteindre
Et la fleur qui ne peut mourir !

"Et l'Oscar de la plus vile manigance est décernée à... "

Oui, cela vaut bien un Oscar !
J'aurais dû m'en douter pourtant : une fille te propose d'écrire dans son blog, histoire de le tenir à jour lors de ses (courtes !) absences... il y a forcément mamouth sous gravillon !
Une fille c'est fourbe et sournois. J'aurais dû écouter ma mère : "depuis qu'elles ne font plus le ménage et la cuisine, on ne peut pas se fier à elles !" (véridique !).

Alors donc que je squatte allégrement le blog de Llu depuis quelques semaines, me voilà t'y pas jeté dehors comme un malpropre, dès potron-minet ce lundi !
"Hé ! C'est encore l'hiver ! Tu n'a pas encore le droit de me mettre à la porte !"
Mais là où le machiavélisme atteint son comble, c'est que Llu m'a monté mon blog ! Me restais plus qu'à l'habiller à mon goût ! Me voilà donc obligé d'assumer mes nouvelles responsabilités...

Je me vengerai, Llu ! Je me vengerai...

Dragonlance – 4ème partie : la guerre de la Lance

Après avoir exposé les liens inextricables entre les romans Dragonlance et le jeu de rôles Donjons & Dragons, je vais maintenant m’intéresser à la saga littéraire en elle-même.

Cette partie, je la consacrerai à la trilogie fondatrice, celle des « Chroniques », et tenter de vous dresser un panorama de l’univers, qui, je l’espère, vous donnera envie de vous y plonger.

Out_of_the_Darkness.jpg

Malgré la passion qui m’anime pour ce monde, je ferai mon possible pour rester critique et impartial, et ne pas tomber dans le panégyrique bateau du fan obnubilé et aveuglé par son sujet.

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Le roi Arthur sur Europe 1

Pour la sortie de l'intégrale des texte du Livre I de "Kaamelott" (disponible ici), Alexandre Astier a été l'invité de Michel Drucker dans son émission "Europe 1 Découvertes", ce jeudi 12 févirier 2009, de 09h30 à 11h00.

Certes, nous n'y apprenons relativement que peu de choses de vraiment neuf, mais pour les fans tel que moi, c'est toujours agréable de l'entendre.

Alexandreastier.jpg

Pour réécouter l'émission, vous avez le podcast du site internet de la station de la radio accessible .

Une chose qui m'a réellement marqué dans cette interview est cette remarque d'Astier : "le jeu de rôle est le plus beau jeu du monde"...

J'aurais pas su mieux dire !

Un scientologue chez les Nazi

Mes dernières pérégrinations cinématographiques m’ont amené à voir le dernier film de Bryan Singer, avec Tom Cruise en acteur vedette : « Walkyrie ».

Affiche_Walkyrie.jpg

Une nouvelle plongée en Deuxième Guerre mondiale pour célébrer la résistance allemande face à la tyrannie d’Adolf Hitler…

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"Il n'y a pas d'amour heureux"

A moins de vivre dans une grotte, vous savez tous que dans quelques jours c'est la Saint Valentin. On nous en rabâche assez les oreilles dans tous les média.

Dernièrement, je suis tombé sur l'édito d'un site internet (notrefamille.com, pour ne pas le citer) qui s'intéressait aux couples mythiques : "Personnages d’histoire ou de légende, certains couples se sont portés un tel amour qu’il a traversé les siècles et s’est ancré à jamais dans nos cœurs et nos mémoires."

Autumn_of_Love.jpg

S'en suit une courte description de six histoires d'amour réelles et imaginaires, en tout cas marquantes pour l'édification de notre "mythologie" amoureuse.

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"Vers cette obscure clarté qui tombe des étoiles..."

Souvenez-vous, c'était en 1991, Gene Roddenberry, le créateur de Star Strek nous quittait.
Peu de temps plus tard, le société Celestis, spécialisée dans les "vols spatiaux mémoriaux", envoya dans l'espace une partie de ses cendres dans une capsule de la taile d'un rouge-à-lèvres et devait tourner autour de la Terre pendant cinq ans avant de se désintégrer dans l'atmosphère.

En 2005, ce fut au tour de James Doohan (Scotty) de tirer sa révérence et ses cendres de tourner dans une orbite basse pendant quelques mois en 2007...

Prochainement, Celestis va renouveler cet hommage en expédiant le reste des cendres de Roddenberry et celles de sa femme, Majel Barrett Roddenberry, décédée le 18 décembre 2008.

roddenberrys.jpg

Susan Schonfeld, porte-parole de Celestis précise : "Les cendres ne reviendront jamais sur Terre"...

Majel Roddenberry a régulièrement joué dans Star Trek et prêté sa voix à l'ordinateur de l'Entreprise.

Les Roddenberry ont vécu ensemble pendant plus de quarante ans : ils vogueront tous deux éternellement, vers "les frontières de l'infini"...

Arrêtes ton char, Marek !

Des fois, il m'arrive de ne pas lire que des romans de fantasy ou de science-fiction. Croyez-le, ou pas, mais des fois, je lis de la littérature plus "classique". Le dernier ouvrage en date (la semaine dernière présisément) j'ai torché le dernier Marek Halter : "La Reine de Saba".

La_Reine_de_Saba2.jpg

Oui, torché ! 330 pages écrites aussi gros que pour un livre d'enfants et où l'intérêt principal y est expédié en 50 ! C'est se fiche de la gueule du monde !

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Dragonlance - 3ème partie : l'entrée dans la postérité

Pour compenser la faible quantité d'exemplaires publiés, Margaret Weis et Tracy Hickman, littéralement investis par leur roman et leur monde, organisèrent une tournée à travers les Etats-Unis pour populariser Dragonlance. Le "Weis and Hickman Travelling Road Show" proposait des lectures publiques et de nombreux membres de TSR participèrent au show en interprétant les personnages principaux de l'oeuvre.
Le succès fut retentissant et un véritable buzz se créa autour du roman !

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L'année suivante, lors d'une convention de jeux de rôles, le show remporta un succès détonnant !
Le monde de Dragonlance gagnait un aller simple pour "l'immortalité"...

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